1. The Dead South - In Hell I'll Be In Good Company 
2. Álvaro Soler - Manila (ft. Ray Dalton)
3. Álvaro Soler - A Contracorriente (ft. David Bisbal)
Mireille Mathieu - Ils s'embrassaient
| Előadó: | Mireille Mathieu |
|---|---|
| Album: | Keressük! |
| Szövegírók: |
Serge Lebrail |
|---|---|
| Zeneszerzők: |
Guy Magenta |
| Kiadó: | Keressük! |
| Stílus: | pop, chanson |
| Címkék: | Keressük! |
Megtekintve: Ma 2, összesen 264 alkalommal
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Dans un théâtre de province
Un soir, j'ai vu deux amoureux
Elle était belle, elle était mince
Et lui il la dévorait des yeux
Elle marchait comme une reine
Et dans ses cheveux demis
À la place, d'un diadème
Un collier de verroterie
Ils s'étaient payé les orchestres
Mais rien ne les intéressait
Pas plus la salle que la pièce
Ils s'embrassaient
Ils s'embrassaient
Ils s'embrassaient
Tout semblait leur donner le change
Côté cour et côté jardin
Le vieux rideau avec sa frange
Et les décors en papier peint
Les costumes de pacotille
Pouvaient encore faire illusion
Mais rien n'était vrai que la fille
Et les promesses du garçon
Ils n'écoutaient pas les répliques
Que les artistes se lançaient
Et bercés par cette musique
Ils s'embrassaient
Ils s'embrassaient
Ils s'embrassaient
Le théâtre a plié bagage
Il est retombé dans l'oubli
Pourtant deux amoureux lui doivent
La grande soirée de leur vie
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la
Un soir, j'ai vu deux amoureux
Elle était belle, elle était mince
Et lui il la dévorait des yeux
Elle marchait comme une reine
Et dans ses cheveux demis
À la place, d'un diadème
Un collier de verroterie
Ils s'étaient payé les orchestres
Mais rien ne les intéressait
Pas plus la salle que la pièce
Ils s'embrassaient
Ils s'embrassaient
Ils s'embrassaient
Tout semblait leur donner le change
Côté cour et côté jardin
Le vieux rideau avec sa frange
Et les décors en papier peint
Les costumes de pacotille
Pouvaient encore faire illusion
Mais rien n'était vrai que la fille
Et les promesses du garçon
Ils n'écoutaient pas les répliques
Que les artistes se lançaient
Et bercés par cette musique
Ils s'embrassaient
Ils s'embrassaient
Ils s'embrassaient
Le théâtre a plié bagage
Il est retombé dans l'oubli
Pourtant deux amoureux lui doivent
La grande soirée de leur vie
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la
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