1. Creedence Clearwater Revival - Have You Ever Seen The Rain?
2. Ricchi e Poveri - Sara perche ti amo
3. ZAZ - Je veux
Coeur de Pirate - Drapeau blanc
Előadó: | Coeur de Pirate |
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Album: | Keressük! |
Szövegírók: |
Béatrice Martin |
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Zeneszerzők: |
Béatrice Martin |
Kiadó: | Keressük! |
Stílus: | Keressük! |
Címkék: | Keressük! |
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Dalszöveg
Comment t’écrire que les journées demeurent longues?
J’admire le ciel qui s’étend pour faire de l’ombre
Et t’écrire, c’est dire au revoir, et pour de bon
On s’est bercées, enchantées,
jetées d’un bord à l’autre
Pour me plaire, pour te plaire,
je t’ai leurrée de voyages
De rester sage, et d’orées d’or
Et j’abdique, j’abandonne,
j’en ai brûlé ton drapeau blanc
Tant que les notes résonnent,
je jure qu’on peut arrêter le temps
Et ne me laisse jamais seule
Ne me laisse jamais seule
Qu’on ne se laisse plus seules avec le temps
Silence sur silence qu’on gardait lors des confrontations
Qu’on avait, qu’on puisait hors de toutes les raisons
Pour s’enfuir loin de ces cloisons
Tandis qu’on se perd dans ces voies invalides
Ces instants qu’on perd à force de construire le vide
D’étreintes qui ne se tiennent que de raison
Et j’abdique, j’abandonne,
j’en ai brûlé ton drapeau blanc
Tant que les notes résonnent,
je jure qu’on peut arrêter le temps
Et ne me laisse jamais seule
Ne me laisse jamais seule
Qu’on ne se laisse plus seules avec le temps
J’admire le ciel qui s’étend pour faire de l’ombre
Et t’écrire, c’est dire au revoir, et pour de bon
On s’est bercées, enchantées,
jetées d’un bord à l’autre
Pour me plaire, pour te plaire,
je t’ai leurrée de voyages
De rester sage, et d’orées d’or
Et j’abdique, j’abandonne,
j’en ai brûlé ton drapeau blanc
Tant que les notes résonnent,
je jure qu’on peut arrêter le temps
Et ne me laisse jamais seule
Ne me laisse jamais seule
Qu’on ne se laisse plus seules avec le temps
Silence sur silence qu’on gardait lors des confrontations
Qu’on avait, qu’on puisait hors de toutes les raisons
Pour s’enfuir loin de ces cloisons
Tandis qu’on se perd dans ces voies invalides
Ces instants qu’on perd à force de construire le vide
D’étreintes qui ne se tiennent que de raison
Et j’abdique, j’abandonne,
j’en ai brûlé ton drapeau blanc
Tant que les notes résonnent,
je jure qu’on peut arrêter le temps
Et ne me laisse jamais seule
Ne me laisse jamais seule
Qu’on ne se laisse plus seules avec le temps
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